CONTEXTE
Depuis quelques années, le public s’intéresse de plus en plus à l’environnement et souhaite apporter sa pierre à l’édifice. Pour cela les sciences participatives ont pris de plus en plus de place. Ces programmes permettent de récolter une plus grande quantité de données mais également de sensibiliser et d’éduquer les différents publics.
De tels programmes ont également une vocation pédagogique. En effet, cela permet aux participants d’améliorer leurs connaissances ou encore de développer leur attirance pour certaines espèces. On remarque également qu’une meilleure connaissance amène à une meilleure protection des espèces en question.
Grâce aux nouvelles technologies, les sciences participatives sont devenues accessibles à tous. Cela facilite donc la transmission des données et la vérification de celles-ci par des professionnels. De tels projets sont très facile à mettre en place et dans divers cas de figure.
UN MOT À CONNAÎTRE : SCIENCES PARTICIPATIVES
Ce sont des sciences définies comme une forme de production de connaissances scientifiques par des acteurs non-scientifiques-professionnels. C’est une définition large qui regroupe une multitude d’activités souvent variées.
Ce sont des formes de « sciences » qui permettent à un grand nombre de personnes de récolter des données et de participer de manière concrète à la recherche. Elles sont donc collaboratives et diverses.
QUE FAIT LE CPIE DES HAUTS-DE-FRANCE ?
Le CPIE des Hauts-de-France propose diverses sciences participatives :
- Inventaires participatifs d’amphibiens
- Inventaires participatifs de rapaces
- Accompagnent et conseils pour la création d’aménagement en faveur de la biodiversité (mare, nichoirs, zone en faveur pour la biodiversité…)
- Animation à destination du grand public
- Inventaires des arbres remarquables
