Pourquoi est-il si compliqué de tempérer sa pulsion consumériste, au delà de ses besoins ? Pourquoi est-il ardu de désirer moins d’objets, de vêtements, de services, d’utiliser moins d’énergie ? Que se passe-t-il dans notre cerveau pour que le principe de plaisir prime trop souvent sur le principe de réalité ?